On a beau jeu de compter sur la bonne volonté des animateurs multimédias en place pour faire « reculer la fracture numérique ». C’est commode de s’en remettre à leur capacité d’autoformation. Mais il faudrait voir à ne pas pousser le bouchon trop loin non plus. N’est ce pas Monsieur Vincent Peillon ? Ni fait, ni à…